Dix-sept ans jour pour jour après que Stewart Green, bon père de famille en apparence, disparaît à la sortie d’un club de strip-tease, le même scénario se répète : Carlton Flynn, aux apparences moins flatteuses, disparaît à la sortie du même club. Le lieutenant Broome, qui n’a jamais réellement lâché l’enquête sur la disparition de Stewart Green, se demande alors s’il n’y aurait pas un lien entre ces deux affaires. Au même moment, un photojournaliste devenu paparazzi pour inconnus en manque de célébrité se fait voler son appareil photo et une mère de famille revient sur les lieux de son passé sulfureux. Au fil des pages, les liens se font, le passé ressurgit, les disparitions et les cadavres s’amoncellent, avec une question latente : que s’est-il passé exactement, il y a dix-sept ans ? Et c’est seulement dans les dernières pages que le jour se fera enfin. Encore une enquête qui se laisse lire facilement, Harlan Coben ayant le don pour nous faire tourner les pages en distillant les révélations à un rythme bien calculé jusqu’au dénouement final.
Harlan Coben, Ne t’éloigne pas
Belfond Noir, Mars 2013
Traduit de l’américain par Roxane Azimi
Moi je ne le lis plus, c’est vraiment trop mauvais…
@ Stephie : Oui, je me souviens que tu m’as déjà dit ça pour les derniers. Moi je ne me suis pas encore lassée. 🙂 (Et je lis peu de polars.)
Je l’ai lu il fut un temps et je me suis lassée..
@ Clara : Hum… je vais continuer jusqu’à être lasse alors. 😉
Moi je suis comme toi dans la catégorie « Pas encore lassée ! » Que du contraire…
@ nailtartetlivre : Profitons-en alors !!